PANIQUE
Course folle dans la rue, une jeune fille coure pour sa vertue
Poursuivie comme son ombre, par un être immonde
A l‘entrée d‘une avenue, tout semble déjà perdu
Loin, loin d‘être sauvée, elle semble s‘arrêter
La panique l‘envahie, ce n‘est surement pas l‘envie
Mais la peur de son ennemi qui lui arrache ses cris
Frappée, rouée de coups elle ne résiste pas beaucoup
La belle désabusée va se faire violer
PANIQUE
Aussi cruelle soit-elle, la mort est éternelle
Pendant qu‘il court en liberté, on éspère l‘arrêté
Mais même dans le pire des cas, s‘il n‘est ni riche ni soldat
Son vice sera condamné à quelques années
C‘est malheureux mais c‘est comme ça, en France il existe des lois
Qui n‘ont pas évoluées depuis trop d‘années
Croyez-vous qu‘en ce temps là, les femmes faisaient la loi
Croyez-vous qu‘en ce temps là, les femmes avaient des droits
PANIQUE