Que de beaux discours, de belles paroles et de mots d‘amour,
Mais derrière les petits fours, les vautours cachent un compte à rebours
Gagner, gagner toujours plus, et là plus question d‘amis,
C’est l‘univers capitaliste, royaume hypocrite de l‘industrie !
Sans aucun remord, pendant que le monde se meurt chaque jour,
ils crament leur putain d‘argent, le disséminent au gré du vent,
Tout ça pour briller sur des yachts flambants neufs,
au large d‘une plage dorée, faite de pétasses et de palmiers
Allez-vous rester les bras croisés, à regarder le monde crever de faim
Des enfants vous supplier de ne plus bombarder pour rien,
Des milliards de malheureux pour le seul plaisir de vos yeux
Même si vous les ignorez, moi je ne vois qu‘eux !
Arrêtez, Arrêtez de prôner l‘amour, la gloire et la beauté,
notre putain de monde n‘est fait que de misère et de pauvreté,
pendant que la bourse vacille aux rythmes des guerres et des paix,
c‘est l‘ensemble du globe qui entretient sa sainteté !